Il travaillait sur des pièces anatomiques appelées « écorchés », auxquelles il donnait des poses théâtrales. Ces pièces étranges, aux visages grimaçants, sont tout ce qu’il reste de son œuvre aujourd’hui.
Son travail soulève des questions : quelle est la limite de la science ? Où commence l’art ? Que l’on admire ou rejette son approche, elle provoque une incroyable fascination.
Festivals et prix :
2012: Sélectionné au festival 'Vedere la scienza', (Milan, Italie, avril 2012)