Où l’on découvre qu’au Royal Palm Hotel, pour 2000 Euros la nuit, vous pourrez revivre l’ambiance coloniale dont s’inspirent les tenues du personnel.
Où l’on fait la connaissance d’Hector Tuyau qui nous apprend à identifier en un coup d’œil le faux puma mal positionné sur une chaussure et le polo made in Maurice.
Où l’on remarque que lors des traditionnelles courses de chevaux, le style « smart casual » est de mise, et le chapeau également.
Où l’on part à la rencontre des coupeuses de canne à sucre et de leurs mystérieux jupons épais qui les protègent des égratignures.
Où l’on apprend que la mauricienne originaire d’Inde du sud noue son sari jaune sur l’épaule droite. Et où l’on suit Karina dans son premier sari lors du jour de Divali.
Où l’on rencontre Brian Veerapin, le créateur de la marque « Paradize burning » qui habille les jeunes hommes des banlieues de Port-Louis.
Où l’on se rend compte que si les rastas respectent comme partout ailleurs le dress code éthiopien, ils ont développé leur propre courant musical : le seggae.