Où l’on apprend que le mot mariachi vient du français mariage et désigne des hommes en sombrero et costume traditionnel qui moyennant quelques pesos assureront l’ambiance musicale de toutes les cérémonies possibles et imaginables.
Où l’on découvre que la cagoule des zapatistes n’est pas seulement destinée à garantir la clandestinité, elle est dotée d’une grande valeur symbolique égalitariste.
Où l’on est surpris de voir d’autres masques très fréquents à Mexico : ceux des lutteurs qui font l’objet d’un véritable culte dans tout le pays.
Où l’on se rend à la campagne pour assister au rassemblement des Charros, riches propriétaires terriens qui adorent revêtir le sombrero et la robe à volants pour célébrer la messe, faire du rodéo et danser la polka tous les dimanches que Dieu fait.
Où l’on fait la connaissance d’une tribu urbaine très présente à Mexico : les Masaguas cholos skato-punks, qui comme leur nom l’indique sont des indiens Masaguas établis en ville qui ont choisi le skate et look punk comme signes identitaires.
Où l’on comprend que les habits du Mexique sont à la fois espagnols, indiens et nord-américains….